Salé
08 octobre 2022
Nous commençons la journée par un appel « apéro-breakfast« , comme on les appelle, avec mes parents et mon frère. Les cousins-cousines sont contents de se voir. La grand-mère est ravie d’apercevoir ses petits-enfants. Et j’aime bien aussi.
Notre première étape, un ravitaillement au Walmart où nous profitons pour faire des photos d’identités et je m’offre le dernier né de Stephen King, sorti tout récemment, évidemment dans la langue de Shakespeare.
Cap sur Bonneville. Nous faisons halte sur la Salt Flats Area, aire d’où il est possible d’aller marcher et même rouler sur le sable. C’est d’ailleurs un sport international que de faire des pointes de vitesse sur ce lac. Le record date des années 70 avec plus de 600 miles/ heure ! Incroyable.
Nous partons tous les 5 sur cette grande étendue blanche que nos cerveaux, non habitués, nous font considérer comme de la neige glacée. On s’attend alors à sentir les craquements caractéristiques et à ressentir du froid.
Mais non, forcément !
C’est blanc et craquant mais pas comme les congères. Indéfinissable. Et c’est effectivement salé… (non je n’ai pas gouté… mes lutins, oui…). La 4-pat s’en donne à cœur joie quand nous la lâchons dans un lieu moins fréquenté. Courir, sauter, faire des roues, les gnomes profitent. C’est l’occasion de faire de chouettes photos des uns et des autres (familles, vous les avez eues).
D’ailleurs, nous ne sommes pas les seuls à venir y marcher. Un club de danse fais une séance photos en tenues dans ce décor, certains en voiture sont garées pour profiter, d’autres encore roulent, coursent et/ ou jouent du frein à main.
Nous ne prendrons pas le risque d’y amener le Lican, nous ne voudrions pas restés ensalés !
Après un bon rinçage des pieds et des pattes, et de nos Crocs plus tard, nous prenons le chemin de notre camp en pleine nature au bord de la 80.
La chemin de terre fait vibrer notre Lican, pas du tout adapté à ce genre de non-revêtement ! Si bien que le placard à vaisselle fini par s’ouvrir et nous perdons un verre et une tasse à café… Je me mets donc debout pour parer aux ouvertures intempestives.
L’homme progresse par tâtonnement en testant les différents lieux « prévus » pour s’y poser. Le fait est que le terrain n’est pas plat et que les vérins refusent de descendre ! Nous savons maintenant que cela est lié au niveau du terrain donc pas d’inquiétude.
Au bout de plusieurs essais, nous trouvons un coin super. Derrière un grand rocher, seul au monde, vue sur le lac salé. Les enfants et la 4-pat vont se défouler dans le terrain qui s’offre à eux.
beaux paysages mais désertiques !
j’aurai trop peur de rouler dans des lieux si désertiques!
pour la quatre pattes évidemment c’est du bonheur pour elle
soyez prudents ! biz