LICAN

28 décembre 2022

Aujourd’hui nous quittons Castiglione del Lago. Nous prenons une bonne douche, lavage des cheveux. Le camping ayant vidange et eau, nous pouvons nous le permettre. Nous prenons la route en fin de matinée après avoir été régler nos deux nuits.

Les tarifs sont beaucoup plus abordables que ceux pratiqués aux USA !

Nous faisons un brin de ravitaillement, notre moment Walmart que nous allons devoir renommer ! Nous prenons de quoi déjeuner et faisons notre repas sur le parking du supermarché.

L’homme prévoit des sections de 2-3h en moyenne histoire de préserver son dos et de limiter le temps de route. Nous n’avons pas non plus d’obligations calendaires comme nous nous en étions créées aux USA avec les réservations des parcs nationaux.

C’est donc tranquillement que nous suivons notre route.

Nous arrivons sur Rome. L’homme avait repéré un parking pour camping-car, à proximité du centre. Malheureusement celui-ci n’a pas de disponibilité. Nous en sommes étonnés.

Nous poussons au suivant, même constat. Je fini par appeler un troisième, bien plus en périphérie. L’homme au téléphone ne parle ni anglais ni français, mais j’arrive à baragouiner des mots éparses pour savoir s’il y a de la place pour ce soir. A priori oui.

Nous reprenons la route, évitant tant bien que mal les ponts de moins de 3m que le GPS met sur notre chemin et arrivons à destination. La porte est fermée, personne ne répond à l’interphone ni au numéro indiqué sur le portail. Je rappelle donc l’italien que j’avais eu initialement. Il comprend que je suis devant le portail et il prévient le gardien.

Dans l’intervalle, le portail s’était ouvert et un agent en place nous recevait tandis qu’arrivait le gardien, parlant parfaitement anglais.

Nous faisons notre plein d’eau puis nous garons dans l’espace indiqué avant d’aller nous enregistrer à l’accueil avec le premier agent baragouinant anglais.

Ces formalités faites, nous dînons puis nous couchons. Demain est une grosse journée, mais je ne sais pas quoi (…lol), d’autant plus que l’homme doit revoir l’accès étant donné que nous ne sommes pas là où il l’avait prévu.