Entre-deux

20 janvier 2023

L’homme aurait voulu monter sur le Vésuve ou aller visiter Herculaneum mais la météo en a décidé autrement.

La pluie ne cesse de tomber, les orages tonnent et les éclairs zèbrent le ciel.

Nous faisons un peu d’instruction puis espérons une accalmie qui ne vient pas.

Alors on s’occupe comme on peut, sortant au minimum. Nous ne bougerons que pour effectuer une vidange des eaux grises, que nous repoussions au maximum espérant la faire sous un ciel plus clément. Mais pas le choix !

La journée s’étire et se termine sous le même chant que celui avec lequel elle avait débutée, celui des gouttes d’eau s’écrasant sur le toit du Lican.

21 janvier 2023

Une nuit encore sous le signe de l’eau. Le nouvel an chinois approche, nous entrons dans l’année du lapin (ou du lièvre) mais est-il sous le signe de l’eau ?

Ceci expliquerait cela…

Ceci étant dit, nous trainassons et prenons notre temps ce matin. Nous profitons des douches du camping et surtout de leur eau bien chaude pour conclure la matinée sur une partie effrénée de jeu de l’oie ou je gagne en un coup, faisant un 9. L’homme et les lutins terminent la partie avant que nous prenions la route.

Direction le sud, sans vraiment savoir notre point de chute.

Quelques emplettes pour réemplir le réfrigérateur, un plein de GPL et de gasoil au fil de la route.

L’affichage publicitaire d’une laiterie nous interpelle et y faisons un saut.

Spécialisée dans la transformation du lait de bufflonne, le patron ou équivalent nous reçoit, nous offre un espresso (et un carré de chocolat aux gnomes) et nous raconte son explication. Il nous explique qu’ils se font livrer 1500 litres de lait par jour des huit fermes bufflonnes de la région puis il nous explique les différents types de mozzarella qu’ils proposent, dégustation de mozzarellaciliege‘ (cerise) en raison de leur taille. Excellente.

Nous prenons deux mozzarella séchées, l’une nature et l’autre séchée. Nous avions déjà acheté au supermarché de la mozzarella fraîche venant d’ailleurs de cette laiterie sans savoir (je la déguste en écrivant ce billet et elle est fameuse !).

Nous passons par Paestum, ancienne colonie grecque reconnaissable à ses temples caractéristiques. L’heure étant tardive et la saison basse, nous ne pouvons pas visiter le site archéologique et décidons de nous arrêter à proximité pour nous y balader le lendemain.

Un camping est trouvé à Capaccio. La gérante, également celle de l’hôtel, nous fait l’entrée. Après nous être installé, nous allons voir la mer sur la plage attenante avant que la pluie se rappelle à notre bon souvenir.

La lutine décidé d’aller demander le code du wifi comme une grande (bravo ma minette !) et nous prenons chacun un moment tranquille, dégustant de la mozza tandis que ma quiche cuit dans mon four ‘de plaque’ Omnia.

Commentaires

  1. Après la pluie … le beau temps

  2. comme les enfants nous retombons dans l’enfance et oui nous nous sommes achetés deux jeux de société le rummikub et le monopoly
    que nous apprécions quand il pleut ; cela fait passer le temps avec nos amis voilà
    bisous

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