Alces

24 septembre 2022

Début de matinée avec l’instruction des enfants. Après les rituels et les activités, nous terminons par un jeu, plutôt destiné au lutin. Nous prenons la boîtes de briques et chaque prend un personnage du Lego Harry Potter de la lutine. Je me retrouve avec Alastor, mad-eye, Moody (Maugrey Fol-oeil). Il paraît qu’on a la même couleur de cheveux…

Sur un plateau chacun lance le dé à son tour et ajoute ou retire le nombre de briques indiqué sur le plateau. Une fois tout le monde arrivé, on voit qui a le plus de briques. Une bonne partie de rigolade.

L’intérêt dans le cadre de l’instruction ? Une approche des additions/ soustractions pour le lutin, apprendre le « jouer ensemble » et à perdre.

Pendant ce temps l’homme s’occupe de faire les vitres et passer l’aspirateur.

Une fois tout cela fait, nous partons. La route défile. Nous déjeunons chez « Cédric« . Un restaurant façon dinner où l’humour se mêle.

Nous continuons d’avancer. Une pause au Walmart en prévision de nos cinq jours à Yellowstone. Nous laissons les enfants à jouer tranquillement dans le Lican et nous partons à l’assaut des rayons. C’est un petit moment rien que l’homme et moi, c’est notre « Moment Walmart« .

L’homme effectue ensuite le plein de gaz et d’essence. Nous devons approcher du Montana au vu des affichages. Peut être le traverserons nous aujourd’hui ? Je ne vois pas de panneau.

Au passage de la rivière, du côté de Island Park sur la 29, nous voyons un attroupement. En effet il y a des élans, ou plutôt devrais-je dire « orignal » (orignal ? orignaux ? est-ce comme chacal ou comme cheval ?). Bref il y en a plusieurs, deux femelles et un mâle s’abreuvant dans la rivière.

L’orignal est le nom donné à la famille des « alces » en Amérique du Nord tandis qu’en Europe de l’Est on parle plutôt d’élan.

Il y a quelques différences en raison des environnements dans lesquels ces animaux ont évolué au fil du temps mais il s’agit d’une même famille d’animaux se caractérisant par leurs bois aplatis.

Nous profitons de cet arrêt pour dîner au restaurant du lodge, qui est bien réputé selon les dires d’un employé croisé par l’homme.
L’homme tente un fish & chip tandis que j’opte pour une revisite d’une poutine. Pas mauvais.

Nous rallions ensuite les campings. L’homme n’avait pas pu réserver. Soit les campings étaient pleins soit sur le mode premier arrivé, premier parqué.

Tentative au KOA, plein.
Tentative au camping suivant, plein.

La raison ? La proximité de Yellowstone. Le parc a mis en place des créneaux de réservations de se camp près de 13 mois à l’avance, sites qui sont partis comme des petits pains. Forcément. Ils ne se libèrent qu’en cas d’annulation et repartent aussi vite ! De plus, la plupart des campings ferme pour la saison hivernale. Si bien que les visiteurs se rabattent sur les camps en périphérie. Nous avions abandonné l’idée de venir cette année. Sans cette famille de voyageurs au long court qui disait « tenter » Yellowstone, nous n’aurions pas regardé les disponibilités des camps ni trouvé, in extremis, une place. Ces voyageurs, de leur côté se sont retrouvés le bec dans l’eau à devoir entrer/ sortir chaque jour en s’étant installés sur un spot en périphérie. Un peu galère.

Nous terminons sur l’aire de repos peu avant l’entrée du Yellowstone, en compagnie de camionneurs et d’autres voyageurs. Nous ne déplierons pas le slide cette nuit.

Commentaires

  1. Le lutin a dû être heureux de voir de près les camions américains.
    À t il été les voir ?

  2. pas compris : « à l’assaut des rayons » bisous

    1. Nous partons chasser dans les rayons du supermarché 🙂

  3. La couleur des arbres est juste splendide

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